Après l’institut de cardiologie d’Abidjan (ICA), le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Treichville, le Centre Hospitalier Universitaire de Yopougon, le CHU de Cocody et le SAMU, le groupe d’investisseurs Européens conduit par Olivier CARLI , Président du groupe DENOS et Mathieu GLAIS Président du groupe VAMED a visité le Vendredi 21 juin 2013, l’institut Raoul Follereau d’Adzopé. Avant la visite proprement dite, une présentation générale de l’institut a été faite par la direction de cette structure. Il ressort de celle-ci, que l’institut Raoul Follereau regroupe 5unités d’hospitalisation, 7 unités médico-techniques et 122 employés
Aussi, cette présentation a permis de comprendre l’état de dégradation avancée dans lequel se trouve l’IRF-CI. Il ya a donc des problèmes récurrents d’étanchéités, et de vétusté des bâtiments.
Après la présentation de l’institut aux investisseurs, une visite des locaux a été faite en compagnie du Directeur Général, le Professeur BAMBA Vagamon. Ainsi donc, les salles de rééducation et de Kinésithérie, d’ergothérapie, de radiologie, le bloc opératoire… ont été toutes visitées. Selon son directeur général, le Professeur BAMBA Vagamon, l’IRF-CI a d’énormes difficultés financières. Pour autant, il a indiqué que « la seule institut qui donne des soins gratuits à l’endroit des malades de la lèpre dans la sous région ne doit pas disparaître ». Il demande donc aux autorités du pays de tout mettre en œuvre pour la sauver. A la suite du Directeur Général de l’IRF-CI, Mr Martin C. le chef de la délégation du groupe VAMED a indiqué être parti faire l’état des lieux de l’IRF-CI. « Nous avons vu un hôpital très propre. Il manque seulement un peu d’argent pour acheter le matériel. Nous allons voir comment nous pouvons financer la réhabilitation de cet hôpital. Nous rendons hommage à son directeur général le professeur BAMBA Vagamon qui y a abattu un travail remarquable… »
Le périple de l’institut Raoul Follereau d’Adzopé marque ainsi la fin de la visite des investisseurs Européens en Côte d’Ivoire. Ils sont donc repartis en promettant de revenir très rapidement avec les financements nécessaires pour la réhabilitation des différentes infrastructures sanitaires du pays.
Service communication et des relations Publiques MSLS