Santé : le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, réaffirme l’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre le VIH-SIDA, la Tuberculose et le Paludisme

Santé : le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, réaffirme l’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre le VIH-SIDA, la Tuberculose et le Paludisme

Lyon (France), le 10 octobre 2019 – Participant à Lyon à la 6ème Conférence de reconstitution des ressources du Fonds Mondial de lutte contre le VIH-SIDA, la tuberculose et le paludisme, le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a réaffirmé le 10 octobre 2019, l’engagement du gouvernement dans la lutte contre ces trois maladies.

Le Chef du gouvernement a également annoncé une contribution de la Côte d'Ivoire, pour un montant de 1.500.000 de dollars US.

« Je réaffirme l’engagement du Président de la République Alassane Ouattara auprès du Fonds mondial pour la reconstitution de ses ressources... Je déclare ici même, la traduction de cet engagement en acte, à travers un don de la Côte d’Ivoire de 1.500.000 dollars américains », a indiqué Amadou Gon Coulibaly.

Le Chef du gouvernement a salué les efforts du Fonds Mondial, qui depuis 2003, ont permis à la Côte d'Ivoire d’accomplir des progrès significatifs. Notamment la chute de la mortalité liée au VIH-SIDA, l’augmentation des patients sous traitement antirétroviral qui est passée de 16.155 en 2005, à 252.125 en 2018 et la prise en charge de 80% des femmes séropositives enceintes pour prévenir la transmission du virus mère-enfant.

Pour ce qui est de la lutte contre le paludisme, Amadou Gon Coulibaly a indiqué que le nombre de décès dû à cette pandémie a baissé de 65%. Il a également mentionné que le pays est parvenu à une couverture universelle en Moustiquaire Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA).

Quant à la lutte contre la tuberculose, ce sont environ 20.000 patients tuberculeux qui sont dépistés et traités chaque année.

Selon le Premier Ministre, la contribution de la Côte d’Ivoire à la lutte contre ces trois pandémies, à travers la mobilisation de ressources budgétaires de contrepartie, a augmenté d’un peu plus de 20% des subventions reçues.